« Une voiture de société fait par défaut partie du package salarial d’un développeur » explique Jelle. Cela a posé deux problèmes. Premièrement : le budget FIP correspondant était très élevé. Les collaborateurs qui ne voulaient pas de voiture ne conservaient que peu en cas de paiement en espèces en raison des charges élevées.
En outre, un nombre croissant de personnes ayant droit à une voiture de société ont délibérément opté pour des modes de mobilité alternatifs. Nous voulions également répondre à cette demande avec le budget mobilité. Pour nous, c’est d’autant plus intéressant que l’intervention est totalement neutre sur le plan budgétaire. »
Pourtant, il y a d’autres raisons importantes à l’origine du budget mobilité. « Certains collègues qui habitent près de leur lieu de travail n’optent plus délibérément pour une voiture » remarque Jelle. « Ils choisissent souvent d’autres avantages : par exemple, la possibilité d’utiliser du budget pour payer une partie de leur loyer ou de rembourser leur prêt. »
« Et puis il y a le vélo, bien sûr : Un travailleur avec de jeunes enfants peut s’en servir pour acheter un triporteur, tandis que les collaborateurs qui viennent au travail à vélo peuvent financer un modèle électrique ou un Speed Pedelec. De plus, le budget permet aussi d’indemniser les déplacements privés, comme avec une voiture de société. »